Leçon de persévérance avec Louise Marçais, alumni de Paris School of Business

Diplômée de Paris School of Business en 2019, Louise décroche à la sortie de l’école un VIE à Toronto… Mais c’est sans compter sur la Covid, qui va malheureusement contrecarrer ses plans. Loin de laisser abattre, Louise a su rebondir et dénicher un très bon travail dans une entreprise internationale.

On rencontre aujourd’hui Louise afin qu’elle nous raconte son histoire, son parcours, ses projets, et puisse vous donner de précieux conseils.

Pourrais-tu te présenter en quelques mots ?

Leçon de persévérance avec Louise Marçais, alumni de Paris School of Business

Je m’appelle Louise Marçais, j’ai 25 ans. Je fais partie de la promotion 2019 de Paris School of Business. J’ai fait un Master spécialisé en Finance internationale. L’école nous offre l’opportunité de partir à l’international. Je suis partie en 4e année pendant six mois à Montréal et en 3e année pendant un an au Vietnam.

Et ce sont ces expériences à l’international qui t’ont donné envie de chercher un VIE à la sortie de l’école ?

Oui, quand j’étudiais à Paris School of Business, j’ai saisi toutes les opportunités de partir à l’étranger qui se présentaient, mon but étant d’apprendre l’anglais et de m’orienter vers une carrière à l’international. C’est aussi pour cette raison que j’ai choisi un cursus en anglais.

À la sortie de l’école, l’objectif était donc de trouver un VIE. J’ai cherché activement : les VIE ne sont pas évidents à décrocher en temps normal et encore moins quand la Covid vient s’en mêler. J’ai réussi à signer un VIE à Toronto, qui est finalement tombé à l’eau à cause de la pandémie.

Comment as-tu rebondi suite à l’annulation de ton VIE ?

Il n’était pas envisageable pour moi de rester à ne rien faire, il a donc bien fallu que je me retourne. Je n’avais pas envie de laisser dormir mon Master dans un tiroir. Je me suis lancée dans des recherches d’emploi, mais beaucoup de portes étaient fermées à cause de la Covid. Et j’ai fini par me rabattre sur l’intérim, qui n’est pas une option que les jeunes privilégient beaucoup. On a tendance à voir l’intérim comme étant réservé aux jobs peu qualifiés, peu qualifiants aussi… En réalité, beaucoup de boîtes embauchent en intérim pour proposer par la suite un CDI.

Et c’est ce qui s’est passé pour moi. J’ai été embauchée en intérim en fonction support pendant 6 mois, à la suite de quoi mon client m’a recruté. Aujourd’hui, je suis donc acheteuse pour une ESN (entreprise de services du numérique) anglaise.

Quel projet professionnel avais-tu en tête à la sortie de l’école ? En quoi a-t-il évolué avec tes dernières expériences ?

À l’origine, j’ai fait un Master en Finance pour être analyste, mais j’ai un parcours assez atypique. J’ai fait mon stage en RH, et mon mémoire sur un sujet touchant plus à la spécialité international business (le management interculturel au sein des chaînes hôtelières).

Je n’ai donc jamais été fermée à l’idée de toucher à toutes sortes de métiers, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle je me suis spécialisée en finance. Je voulais en effet un parcours généraliste qui me permette de tout faire. Et c’est ce que Paris School of Business m’a offert : un cursus complet dans tous les domaines.

Je ne me suis donc pas retrouvée perdue quand j’ai commencé en tant qu’acheteuse logistique !

Quels sont tes projets pour le futur ?

J’envisage toujours de partir à l’étranger, mais plus forcément de la même façon. Le siège de mon entreprise est à Londres et j’aimerais pouvoir les rejoindre outre-manche.

J’ai d’ailleurs reçu une nouvelle proposition de la part de mon employeur : après deux mois dans l’entreprise, je vais déjà changer de poste. Et c’est grâce à la formation que j’ai reçue à Paris School of Business !

Louise Marçais

Tu es diplômée depuis 2019. Avec le recul, quel regard portes-tu sur ton cursus à Paris School of Business ?

J’ai de très bons souvenirs de Paris School of Business. J’ai eu la chance de pouvoir suivre un parcours assez généraliste, ce qui est très compliqué en France, les Français aiment beaucoup la surspécialisation.

L’école m’a offert l’opportunité de toucher à tout, de pouvoir être qualifiée dans des domaines divers et variés, de partir à l’étranger plusieurs fois, de faire un mémoire sur un sujet déconnecté de ma spécialité… Paris School of Business a été à l’écoute de mes envies et m’a laissé explorer divers horizons.

Les étudiants de Paris School of Business ont des compétences dans tous les domaines, et je m’en rends d’autant plus compte maintenant que j’ai touché à différents corps de métier. Le tronc commun que suivent tous les étudiants au premier semestre de Master est vraiment génial et je remercie Paris School of Business : j’ai beaucoup d’amis qui n’ont pas eu la chance de suivre un parcours aussi ouvert dans d’autres écoles.

Quels conseils donnerais-tu aux futurs jeunes diplômés de Paris School of Business ?

Aujourd’hui, en temps de Covid, je leur dirais de ne surtout rien lâcher parce que leur diplôme a une vraie valeur et qu’ils ont un large socle de compétences. Alors il ne faut pas douter de soi !

Je leur conseille de suivre le chemin qu’ils veulent suivre… et Paris School of Business les accompagnera !

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