Faire partie d’une association lorsque l’on est étudiant en école de commerce peut s’avérer être une expérience très enrichissante à bien des niveaux. Pour Samuel Chemama, étudiant à Paris School of Business, le Bureau des Sports a été l’opportunité durant sa 2ème année de développer des projets inédits à l’international, notamment à travers les championnats du monde universitaires de sport de Barcelone.
Faire des devis, gérer un budget, manager des équipes ou encore faire la communication de l’événement, sont autant de missions que cet étudiant a été amené à remplir au cours de son expérience au sein du BDS de Paris School of Business. Aujourd’hui, il a accepté de revenir sur cette année des championnats du monde de Barcelone.
Intégrer le Bureau des Sports
À Paris School of Business, les étudiants sont amenés en 1ère et 2ème années à intégrer une association afin d’y développer leur savoir-faire et leur savoir-être à travers de nombreux projets et responsabilités.
Comme le Bureau des Élèves, le Bureau des Sports fonctionne selon un système de listes. Samuel explique comment il a intégré le BDS en 2ème année du Programme Grande École :
« C’est une campagne rythmée par plusieurs événements dans l’année. Il y a différentes étapes. Une fois qu’on les réussit toutes, on a un dossier à écrire, qui doit être validé avant de pouvoir passer devant le jury. Lors de l’oral, on passe devant un jury composé des membres de l’administration et d’anciens étudiants, et ils décident si notre liste ou la liste adverse accèdera au Bureau des Sports. Donc à partir de là, on a été élus. J’ai alors pu commencer mon année en tant que vice-président admin. ».
Quel rôle au sein du BDS ?
Le Bureau des Sports se compose de différentes personnes aux fonctions bien déterminées. Président, vice-Président, trésorier, responsable de la communication… la liste est longue. Pour Samuel, les responsabilités étaient nombreuses. « Je m’occupais en grande partie de l’événementiel et de la communication. Je gérais tous ceux qui s’occupent de l’animation dans l’école, de l’événementiel lors des soirées ou événements que proposent le BDS, ou bien de la communication. Je manageais des équipes qui avaient différentes missions dans l’organisation de l’association ».
Mais pour Samuel, ayant entrepris d’intégrer pour la première fois l'école aux championnats du monde universitaires sportifs dont l’édition se déroulait à Barcelone, l’enjeu de cette année au sein du BDS était de taille.
Les championnats du monde sportifs universitaires
En tant que nouveaux membres du Bureau des Sports, il est important de proposer de nouveaux projets régulièrement pour maintenir et développer les activités de l’association. Dans le cadre de son dossier proposé pour accéder au BDS, Samuel avait déjà vu grand en proposant d’amener Paris School of Business et ses étudiants sportifs à Barcelone. Il raconte :
« En février de ma première année au sein de PSB, un ami qui est à l’IESEG m’a parlé d’un championnat sportif auquel son école participait qui se déroule à Barcelone et dans d’autres pays du monde. Ce sont les championnats du monde interuniversitaires de sport. Plein de pays avec des écoles supérieures peuvent y participer en se déplaçant à l’étranger ».
Après s’y être déplacées pour inscrire leurs équipes, les écoles se rendent sur place pour une durée de 4 jours. L’an dernier, les championnats du monde interuniversitaires de sport ont eu lieu du 14 au 18 novembre. «
Il y a énormément de sports représentés : ping-pong, badminton, natation, basket, volley, foot, échecs, etc. Ils sont représentés dans la catégorie masculine et dans la catégorie féminine ».
Un projet inédit à Paris School of Business
Jamais auparavant Paris School of Business n’avait amené ses étudiants sportifs participer à ce championnat qui dispose d’un rayonnement international. C’est également l’opportunité pour les étudiants membres du Bureau des Sports d’entreprendre un projet hautement responsabilisant.
« Je me suis dit que PSB, comme toutes les écoles, cherche une reconnaissance à l’international. Et quel meilleur moyen de se faire connaître à l’international que d’y partir ? J’ai donc commencé avec un ami à me renseigner un peu, à envoyer des mails à l’organisateur pour savoir comment ça se passait et à inclure toute cette prise d’informations dans notre dossier. Une fois le dossier validé on a lancé la machine ».
Avec ses camarades du BDS, Samuel a rapidement été immergé dans l’organisation du championnat du monde interuniversitaire et a su mobiliser ses compétences et ses connaissances pour mener ce projet à bien.
« Je considère ça comme mon projet de l’année »
De la prise de contact aux moyens de transports pour se rendre à Barcelone en passant par la communication faite aux étudiants de Paris School of Business, Samuel était un peu sur tous les fronts, et cette expérience était pour le moins formatrice.
« On voulait lancer un coup de tonnerre dans l’école car ça n’avait jamais été fait avant. Je me suis dit que pour lancer un événement inédit, il fallait faire une communication inédite elle aussi.
On s’est dit qu’on allait lancer l’événement lors du forum des assos de PSB qui a lieu en début d’année. On faisait beaucoup de bouche-à-oreille et ça a tout de suite plu aux étudiants. À partir de là, on a dû réserver tous les avions. J’était en contact en permanence avec un tour opérateur. On était 81 à partir. On a évidemment eu des problèmes, mais on a su les résoudre ».
Samuel confie que le niveau du championnat était extrêmement élevé et que les résultats sportifs n’étaient pas au rendez-vous pour l'école. Cette expérience n’en était pas moins formatrice pour les participants qui ont su développer un projet dans son ensemble à l’international.
« Personnellement, je considère ça comme mon projet de l’année parce que j’ai beaucoup travaillé dessus et que ça a été une réussite ».
L’engagement associatif est une notion hautement valorisée à la Paris School of Business. Les associations que propose Paris School of Business sont nombreuses et variées, alors n’hésitez pas à vous renseigner pour intégrer l’une d’entre elles.
