Samuel, responsable associatif de Paris School of Business nous raconte son parcours

Samuel, responsable associatif de Paris School of Business nous raconte son parcours

Samuel, étudiant et alternant à Paris School of Business nous explique son expérience au sein des associations de l’école. Il nous présente son rôle en tant que responsable associatif et nous livre comment les associations se sont adaptées face au distanciel.

Je m’appelle Samuel Chemama, j’ai 21 ans, je suis étudiant en master 1 Marketing Insights & Data Analytics Strategy et je fais mon alternance à l’école en tant que responsable associatif.

Samuel Chemama

Qu’est ce qui t’a donné envie d’intégrer Paris School of Business ?

Mon grand frère était à Paris School of Business avant, il m’a beaucoup vendu l’école par la vie associative. Lui-même était président d’une association. Il m’a beaucoup parlé des bénéfices de faire partie d’une association. De plus, je cherchais une école où l’on pouvait faire son parcours en anglais car je voulais m’améliorer. Le fait qu’on puisse partir 1 an à l'étranger est vraiment un des facteurs principaux qui m’a fait choisir cette école. Des amis à moi étaient à Paris School of Business, j’ai donc pu leur poser des questions et j’ai également participé à des journées portes ouvertes.

J’ai donc intégré Paris School of Business en première année du Programme Grande Ecole, avec le cursus international track où tous les cours sont en anglais.

En quoi consiste ton alternance ?

Je suis responsable associatif de l’école et mon rôle consiste à superviser et organiser toutes les associations de l’école. Il s’agit donc de diriger les associations et de les accompagner vers leurs objectifs. J’ai un budget à gérer qui est défini grâce à des cotisations associatives chaque année. Le but est de repartir le budget entre les associations en fonction de leurs projets. Mon principal objectif est de les aider face aux problèmes qu’elles peuvent rencontrer, de m’assurer qu’elles soient toujours motivées et qu’elles aient toujours de nouvelles idées. L’objectif des associations c’est de faire en sorte que les étudiants n’aient pas que les cours à vivre cette année, qu’ils puissent se vider la tête, communiquer, participer à des projets…

Pourquoi avoir choisi ce poste ?

En première année j’ai tout de suite été pris dans la vie associative. Je suis une personne créative, j’aime organiser des projets. J’ai donc pu participer à une liste BDS, où nous avons gagné. Ensuite, j’ai été vice-président du bureau des sports. Je voyais donc au fur et à mesure, grâce aux associations, que finalement le côté événementiel m’intéressait beaucoup. Je me sens à l’aise dans l’événementiel, l’organisation et le relationnel.

En 2eme année le responsable associatif m’a laissé organiser un événement pour les étudiants qui venaient d’être acceptés à Paris School of Business. C’est à ce moment-là que j’ai compris que je voulais faire ce travail. Etre responsable associatif c’est avoir des opportunités et des responsabilités, pouvoir les transmettre aux étudiants pour qu’ils trouvent ce qu’ils veulent faire plus tard.

Qu’est-ce que ce travail t’apporte ?

Cette année avec la Covid, ça a été compliqué de se dire que je n’allais pas avoir une année comme les autres, riches en émotions et en événements.

J’ai dû apprendre, professionnellement et personnellement, à m’adapter. Chaque semaine de nouvelles restrictions arrivaient. Il fallait être très flexible et les associations ont aussi dû apprendre à le devenir. Ce poste m’a apporté l’adaptabilité et beaucoup de force mentale. C’est facile dans ces moments-là de perdre toute motivation, on ne se doutait pas que la situation allait durer si longtemps. J’avais beaucoup d’ambitions et de perspectives pour les associations et finalement rien ne s’est réellement passé comme prévu. Il ne fallait pas perdre espoir et on a réussi à trouver des solutions. J’ai appris à être déterminé, à ne pas baisser les bras et à motiver les autres. Je suis parti de zéro, on a dû inventer de nouvelles manières de faire face à la situation actuelle. Ce travail m’apporte également beaucoup au niveau relationnel. J’apprends à gérer des personnalités différentes. Parfois c’est dur, je n’ai pas tout le temps réussi.

Peux-tu nous parler des associations ?

Cette année on a 10 associations qui existent. Il y en a pour tous les goûts !

Cette année G du Cœur, notre association humanitaire a beaucoup travaillé. Les étudiants ont organisé des actions pour des organisations caritatives, ont récolté de l’argent pour diverses associations, ils ont fait des maraudes ou encore ont distribué des jouets à un foyer pour enfants.

Comment as-tu fait face au distanciel ?

La volonté de s’adapter au distanciel a vite pris place. On ne pouvait pas laisser tomber les associations cette année. On a dû rapidement trouver des solutions. J’ai motivé les associations pour organiser le maximum de conférences pour divertir les étudiants pendant les confinements.

Samuel Chemama

La première conférence a été organisée par les deux associations culturelles : JSA et AIFA. Le sujet était l’impact des conflits géopolitiques sur l’évolution du racisme et de l’antisémitisme. La conférence était animée par un professeur de notre école, Monsieur Encel. 250 personnes y ont assisté.

Ensuite, l’association média a organisé une conférence sur le monde de la radio. On a eu la chance d’avoir des témoignages de 4 animateurs différents dont Fred de Skyrock. On a également fait une conférence avec le coach de l’équipe de France de rugby Fabien Galthié. Le but était de faire venir un maximum d’intervenants pour qu’ils échangent avec les étudiants.

J’ai eu la chance d’avoir des étudiants réactifs et qui ont su s’adapter. Par exemple, le BDS a organisé des cours de sport en visio ou encore des tournois e-sport. G cuisiné a proposé des tutos en ligne pour motiver les étudiants à cuisiner chez eux, le BDA a lui organisé des covers en ligne également.

Cette année on compte en tout 102 projets associatifs en distanciel. C’est une belle réussite.

Quels conseils donnerais-tu aux futurs étudiants de Paris School of Business ?

Un conseil que je leur donne : l’école, grâce aux associations et aux professeurs, va vous donner la possibilité d’avoir des opportunités et de les prendre ou non. Des opportunités associatives notamment. Prenez-les. Soyez à l’écoute de ce que l’on vous propose, n’ayez pas peur de vous investir dans des projets. Saisissez les opportunités, ayez l’esprit ouvert.

Autre conseil au sujet de l'alternance. L’alternance permet de pouvoir faire un premier pas dans la vie professionnelle tout en continuant ses études. Quand on arrive sur le marché du travail à la fin de notre 5ème année on a déjà 2 ans d’expérience dans un domaine. C’est une grande chance.

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